Il se rendait insensible à tout ce qui fait du bruit au-dehors; de tout son coeur, il contenait ses sens extérieurs de toutes parts et maîtrisait les mouvements de son esprit pour être disponible à Dieu seul.
Il nichait dans le creux des rochers et son habitation était dans le trou d'une paroi.
Avec une dévotion assurément heureuse, il circulait à travers les maisons esseulées et, tout vidé de lui-même, séjournait fort longtemps dans les blessures du Sauveur.
Aussi choisissait-il souvent des lieux solitaires pour pouvoir diriger totalement son esprit vers Dieu.
Tomas de Celano, vie de François,
(1 C XXVI I, 70)